Le second exemple est très dur ; c’est celui des vidéos de décapitations.
Je sais par mes fonctions, tout comme Bernard Cazeneuve, que, lorsqu’un groupe terroriste installé à l’extérieur du territoire français veut mettre sur support vidéo une ou plusieurs décapitations, il fait vérifier par des réseaux situés sur le territoire national, à l’heure précise de sa diffusion, si la vidéo est bien « passée » en ligne. Peut-on se priver de mettre en place un algorithme permettant d’identifier les réseaux qui recèlent des terroristes en puissance ?