Le Gouvernement émet un avis défavorable sur l’amendement n° 77, même si l’on comprend bien la démarche de M. Barbier. Je ne vois pas l’utilité d’enserrer dans un cadre contraignant, dans un sens ou dans un autre, la relation entre le patient et son médecin au moment où la question de la fin de vie se pose. Après tout, la rédaction de directives anticipées peut aussi être l’occasion de préciser que l’on veut vivre jusqu’au bout sans qu’il soit mis fin à sa vie de façon prématurée.