Le risque concerne les entreprises et non l'État : une part importante des dépenses de recherche et développement des grands groupes sont actuellement prises en charge à 30 % par l'État. Si cette subvention est supprimée, on peut s'interroger sur la pérennité des projets de recherche conduits sur la base d'un taux de subvention de 30 %.
Pour l'État, il y aurait, c'est certain, un gain budgétaire.