Le Conseil d'État proposait un agrément optionnel. Juridiquement, ce serait très sécurisé : on peut, en cas de changement des conditions de déroulement du projet, déposer une sorte d'avenant. On aurait ainsi un agrément modifié. Malgré tout, selon moi, il existe une problématique liée au coût : si 20 % des déclarants déposaient cinq projets par an, aurait-on la capacité de les gérer avec le binôme administration fiscale-ministère de la recherche ? Je ne suis pas certaine que ce soit évident.