Monsieur le ministre, j’ai écouté avec attention vos propos, mais ne peux me réjouir de ces derniers.
Nous recrutons bien entendu des gardes privés et des maîtres-chiens ; seulement – et vous le savez très bien ! –, des policiers et des gendarmes, c’est autre chose ! Je maintiens donc mon propos !
Monsieur le ministre, ne me dites pas qu’il s’agit d’une fête privée ! Je vous invite à venir : une fête réunissant trois millions de personnes est bien une fête publique !
Nous sommes bien sûr prêts à une participation montant en puissance, mais sur trois ans, en commençant l’année prochaine, pour arriver ensuite à une situation normale. Mais j’ai besoin de l’aide de M. le ministre de l’intérieur pour le démarrage. En effet, sans policiers, il sera à mon avis très difficile de maintenir la fête des Loges.