Intervention de Jacques Mézard

Réunion du 15 juillet 2015 à 14h30
Accord européen relatif à la grèce — Déclaration du gouvernement suivie d'un débat et d'un vote

Photo de Jacques MézardJacques Mézard :

M. Jacques Mézard. Cela étant, on ne saurait rester sourd aux interpellations du Fonds monétaire international, le FMI, qui conditionne sa participation au nouveau plan à un allégement, voire un effacement partiel de la dette grecque. Il faudra y parvenir, comme l’a justement relevé M. le ministre des affaires étrangères. C’est inéluctable. Mes chers collègues, l’Allemagne ne pourra ni ne devra oublier que, après chaque guerre mondiale, elle a bénéficié de la sollicitude forcée ou amicale de ses créanciers.

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