Ces amendements tendent à préciser que l’instance attribuant les certificats d’obtention végétale et qui autorise la mise sur le marché des semences, aujourd’hui le Comité pour la protection des obtentions végétales, doit avoir une composition pluraliste.
L’intention n’est pas critiquable sur le fond mais se heurte à plusieurs difficultés.
D’abord, le pluralisme est une notion non pas technique, mais politique, donc difficile à définir.