Cet amendement vise à préciser que, dans le cadre de la mission de promotion de la santé à l’école, les élèves ont accès à un infirmier ou à un médecin de l’éducation nationale dès qu’ils le demandent. Certes, on connaît les difficultés auxquelles fait face la médecine scolaire, mais ce principe figure déjà dans la loi. L’inscrire ad vitam aeternam dans tous les textes ne résoudra pas le problème de la médecine scolaire. Il faut se donner les moyens d’appliquer la loi existante. La commission émet donc un avis défavorable sur cet amendement.