Tout d’abord, cher ami et collègue Daniel Raoul, ne me prêtez pas des intentions que je n’ai pas !
Je suis ici le seul à faire partie du Comité de suivi de la mise en œuvre du droit au logement opposable. Par ailleurs, je copréside, avec Paul Boucher, le groupe de travail « Île-de-France » constitué en son sein. Par conséquent, s’il existe un problème que je connais sûrement au moins aussi bien que vous, monsieur Raoul, c’est celui du DALO ! Et je peux vous dire que, sur ce terrain, les élus de votre sensibilité, dans les départements qu’ils président, sont très loin d’être totalement exemplaires. Alors, de grâce, épargnez-nous vos conseils parce que, manifestement, vous ne connaissez pas très bien le problème !