Mes chers collègues, comme vous le savez, la conférence des présidents avait réservé une plage de quatre heures au groupe socialiste.
Nous avons entamé l’examen de la proposition de loi relative à la lutte contre le logement vacant et à la solidarité nationale pour le logement à quinze heures trente et nous n’avons pu débuter l’examen de la proposition de loi visant à réguler la concentration dans le secteur des médias qu’à partir de dix-huit heures cinquante, et je prie son auteur, M. David Assouline, de bien vouloir nous en excuser. Je remercie également M. le ministre de la culture et de la communication de sa patience.
Dans un souci de courtoisie, j’ai souhaité prolonger le présent débat jusqu’à vingt heures. Néanmoins, dans la mesure où la conférence des présidents n’a pas prévu de séance ce soir, je me vois obligé d’interrompre l’examen de la présente proposition de loi.
La suite de la discussion est renvoyée à une séance ultérieure, qui sera fixée lors de la prochaine conférence des présidents.
Toutefois, j’indique aux présidents de commission – cela ne s’adresse évidemment pas seulement à vous, monsieur le président de la commission de la culture – que nous devrions à l’avenir, me semble-t-il, mieux anticiper le temps nécessaire à l’examen des différents textes. En l’occurrence, nous l’avions quelque peu sous-estimé.