Madame la secrétaire d'État, j’espère que cette loi ne posera pas de problème d’interprétation.
Je ne sais pas s’il est très réaliste de n’intégrer que la valorisation de la matière dans l’objectif de 40 %. Le texte, tel qu’il est rédigé, me semblait prendre en compte l’ensemble de la valorisation, y compris la valorisation énergétique. §Peut-être n’ai-je pas bien compris, monsieur le rapporteur…
En comptabilisant la valorisation énergétique, nous pourrions fixer un pourcentage beaucoup plus important.