Il ressort de cette analyse des cycles de vie un avis très nuancé sur l’intérêt de la consigne. Grosso modo, le bilan environnemental n’est positif que pour les circuits logistiques courts. C’est le cas, par exemple, lorsque l’acheteur rapporte au producteur de jus de pomme, sur le marché, la bouteille vide. La variable déterminante est le transport. Par conséquent, pour toutes les autres filières, le recyclage des déchets d’emballage est clairement préférable à la consigne.
C’est la raison pour laquelle je me dois d’émettre un avis défavorable sur ces deux amendements.