J'ai un avis contraire. Dans la loi actuelle, toute personne ne s'étant pas exprimée est réputée consentante. Les décisions sont prises par la famille, alors qu'elle est encore émue par le décès. La ministre souhaiterait que la volonté préalable de la personne décédée soit respectée. Je soutiens cet amendement car il attire l'attention sur le déficit de dons d'organes - à savoir moins de vies sauvées - et il ouvre une période de débat et de concertation d'un an - immense mérite - avant la signature du décret par le Gouvernement et ce, même si sa rédaction est un peu sèche par rapport aux explications de la ministre.