Je termine, madame la présidente.
Pour ce qui est des engagements financiers, il faudra faire davantage d’efforts dans le budget pour 2010.
J’ai souvent entendu Mme la secrétaire d'État dire que l’écologie n’était pas politique. Un article du Figaro parle pourtant d’une « écologie de droite ». Alors qu’est-ce qu’une « écologie de gauche » ? Ce serait, ma-t-on dit, une écologie qui voudrait un développement zéro !
Pour ma part, je suis persuadé qu’il existe une « écologie républicaine », soucieuse de freiner les excès de cette « concurrence libre et non faussée », cette loi du marché qui fait qu’on cherche sans cesse et aveuglément le profit à court terme.
Il appartient au pouvoir politique de déterminer où se situe l’intérêt général et de prévoir les régulations nécessaires afin de sauvegarder cette nature qui est déjà bien abîmée. À cet égard, je pourrais citer de nombreux exemples.