Je vous remercie de votre réponse, monsieur le secrétaire d’État. Il est vrai qu’avec l’évolution des nouvelles technologies les pratiques anciennes n’ont plus lieu d’être. Mais, dans le même temps, on a constaté que le vote électronique n’était pas un facteur de plus grande participation électorale.
Vous savez certainement ce que la fédération des Associations françaises des sciences et des technologies de l’information pense du vote anonyme.
La question mérite un réel débat. J’espère que nous pourrons l’avoir au Parlement, afin de trouver un bon équilibre entre technologie et démocratie.