Je remercie Mme la secrétaire d’État pour sa réponse, et invite M. Alain Vidalies à nous tenir informés des suites de ce dossier.
Comme vous l’avez dit, qui peut le plus peut le moins : les cas de Nice ou de Francfort, et l’exemple de ce que les autorités allemandes ont obtenu des autorités suisses, montrent que ces dernières, loin de souhaiter déclarer la guerre à la France, sont prêtes à s’engager sur la voie d’une solution intelligente permettant de ménager à la fois la tranquillité des riverains français et l’existence de trajectoires d’atterrissage pour les avions suisses.