Pour faire face à ce problème, notre gouvernance de lutte contre les pollutions est trop dispersée : d’une part, l’Union européenne, avec la Convention de Barcelone pour la protection de la Méditerranée, et, d’autre part, l’Union pour la Méditerranée, l’UPM, laquelle paraît encalminée, du moins sur ce point.
Dans le cadre du rapport que j’ai fait au nom de l’OPECST, j’ai été amené à avancer sur la base de ces constats dix grandes catégories de propositions.
Où en est-on, madame la ministre, de la mobilisation de tous sur l’ensemble du bassin, cinq ans après cette étude qui n’incitait pas à l’optimisme, et quelles initiatives la France et l’Europe ont-elles prises ou comptent-elles prendre face à une telle urgence ?