Manuel Valls a choisi de soumettre au Parlement l’accord européen relatif à la Grèce, alors que la Constitution ne l’y contraignait pas ; d’autres y étaient obligés, comme l’Allemagne, par exemple, par rapport au Bundestag.
Je pense que cette dynamique d’appropriation démocratique et parlementaire ne pourra qu’aller dans le sens d’un meilleur fonctionnement de la zone euro.