Nous avons dit lors de la discussion générale que nous approuvions globalement ce texte.
Les questions qui apparaissent maintenant sont fondamentales, car elles posent le problème de la place de l’industrie d’armement dans l’économie française et internationale, et donc celui du commerce des armes. Il faut appeler un chat un chat !
Si nous nous battons pour cet amendement, c’est parce que nous ne voulons pas que la loi puisse être contournée.
M. le ministre a déclaré tout à l’heure qu’il ne fallait pas handicaper notre industrie d’armement. Pourquoi ne pas plutôt faire autrement avec cette industrie ?