Nous tenons tous à Radio France, à sa « singularité » que vous avez soulignée, mais aussi à sa « qualité ». La publicité y tient une place moindre que sur les radios privées et vous accordez une place de choix à la culture technique et scientifique : bravo !
Le COM indique, en page 19, que la récolte de données personnelles devrait permettre de mieux répondre aux goûts des auditeurs. Cette démarche, qui se rapproche de celle d'un Google et aboutit à segmenter les publics, me semble contraire à la mission de service public et de lien social qui est celle de Radio France.
A l'instar de ma collègue Brigitte Gonthier-Maurin, je souhaiterais également avoir quelques précisions sur les projets de revente de Sophia, la banque de programme de Radio France qui permet aujourd'hui d'accompagner de nombreuses radios associatives.