Jean de La Fontaine emploie cette belle expression.
J’ai donc pitié du lecteur du code civil, qui, arrivant à l’article 1653, ne trouvera plus cette oasis de poésie parce qu’on l’aura décidé, au nom d’une conception technocratique de la langue française, de le priver de cette expression de toute beauté.
Mes chers collègues, je plaide pour un peu de poésie à l’article 1653 du code civil.