Les grands prédateurs, dans les massifs, contrarient les efforts que vous faites pour l'agriculture de montagne, qui sont très appréciés. Près de 7,5 millions d'euros doivent financer du gardiennage, des clôtures ou des chiens de protection, mais la zone de présence du prédateur ne cesse de s'étendre, dans le Jura, les Alpes, les Pyrénées ou le Massif central. Jusqu'où pourrez-vous abonder, avec un budget contraint, ce plan « grands prédateurs » ? Ne marche-t-on pas sur la tête ?