Sur le principe, je tiens à ce que l'on reconnaisse la place du régime général de sécurité sociale, mais on se heurte au principe de réalité : la MGEN, par exemple, gère l'ensemble de la couverture. C'est plus simple pour les bénéficiaires. Comment résoudre la contradiction entre la simplification de l'architecture et celle des démarches des assurés dans la vie quotidienne ?