Cette fois-ci, je maintiens mon amendement. À trois semaines de la COP 21, il me semble que le Sénat pourrait adresser un signal. Dans les semaines à venir, nous évoquerons largement la question de la déforestation. C’est un sujet extrêmement grave dans plusieurs régions du monde, notamment dans des zones où l’huile de palme est produite de façon industrielle et massive, sur des milliers d’hectares.
Les petits ruisseaux faisant les grandes rivières, pourquoi se priver d’une telle source de revenus à l’heure où le Gouvernement cherche de l’argent ? Nous pourrions réunir ainsi une somme certes petite, mais non ridicule.
Par ailleurs, même si cet amendement n’a qu’un impact léger sur les industriels, il les incitera à reconsidérer leurs choix.