Je constate sur le terrain de profondes similitudes avec les faits exposés par notre collègue Philippe Leroy. Je ne conteste pas l'existence d'un effort financier, mais les procédures d'instruction sont trop longues : deux ans !
Je regrette l'attitude des deux plus gros opérateurs - SFR-Numéricable et Orange - qui n'ont comme volonté que de préserver leur pré carré plutôt que de favoriser des réflexions départementales et régionales. Il ne faut donc pas tout miser sur la montée en débit et aller plus loin dans les contraintes à appliquer à ces opérateurs. Il y a aussi trop d'enchevêtrement des interventions ; il faut simplifier en ce domaine. Et je ne parle pas des difficultés liées aux contraintes en matière d'exploitation des réseaux, qui n'ont pas été abordées aujourd'hui.