Madame la présidente, monsieur le ministre, monsieur le secrétaire d’État, mes chers collègues, ce projet de loi de finances brille par son faible, très faible contenu ! Aucune des réformes structurelles indispensables que nous appelons de nos vœux depuis longtemps n’y figure. C’est le statu quo, l’immobilisme élevé au rang de politique nationale ! On a l’impression que la consigne a été : surtout ne rien faire !
Commençons pourtant – une fois n’est pas coutume – par des félicitations.