Dimanche, nous aurions dû être dans le cortège de la marche pour le climat pour rappeler aux négociateurs du monde entier venus à Paris qu’un accord contraignant, limitant le réchauffement du climat à deux degrés, est indispensable.
Nous avons débattu ici même au Sénat, lundi, de l’urgence climatique. Sortir de notre dépendance aux hydrocarbures est aussi une étape vers l’éradication du djihadisme, qui se finance grâce au pétrole de contrebande. J’aimerais que chacun conserve cet élément en mémoire.