À la différence de ceux qui ont été déposés sur le même thème, ces deux amendements ne tendent pas à créer un nouveau taux réduit de TVA. Il s’agit simplement de prolonger le dispositif, de deux ans ou d’une année. Cela permettrait en effet de favoriser la mixité sociale et l’accession à la propriété des foyers les plus modestes. En outre, le coût de cette prolongation est sans doute limité.
Dès lors, comme il ne s’agit pas de la création d’une nouvelle niche, mais d’un simple aménagement de date, la commission, qui vous demande, mon cher collègue, de bien vouloir retirer l’amendement n° I-143 rectifié bis, s’en remet à la sagesse du Sénat sur l’amendement n° I-144 rectifié.