M. Christian Eckert, secrétaire d'État. Je le dis avec un peu d’humour, mais tous les crédits d’impôt, de façon plus générale tous les crédits d’impôt culturels – spectacle vivant, phonographie, cinéma français, cinéma étranger, vidéo –, ont connu le même type d’évolution : on commence petit bras, on fait ensuite sauter un à un les critères et cela finit par nous coûter un bras !