La question de l’effet d’aubaine est tout à fait secondaire. Il faut raisonner à partir de la richesse globale d’un territoire, car ses composantes interagissent les unes avec les autres. Peut-être qu’une ou deux communes bénéficieront d’un effet d’aubaine, mais n’oublions pas que leur richesse rejaillit sur l’ensemble du territoire.
Il me semble donc juste de considérer que ce sont des territoires plus larges qui, aujourd'hui, rencontrent des problèmes de pauvreté et qu’il convient, dès lors, de les préserver dans le cadre de la solidarité nationale.
Cet amendement est l’un des rares tendant à affirmer clairement que les territoires sont en interaction les uns avec les autres. J’y insiste, c’est la bonne approche !