Au moins, les choses sont claires, et nous avons, quoi qu’il en soit, un peu de temps devant nous.
J’ajoute que l’augmentation de la population n’est pas le seul critère à prendre en compte. Si une commune, comme celle dont je suis le maire, gagne une centaine de places dans le rang de DSU, c’est parce que le nombre de bénéficiaires de l’aide personnalisée au logement, l’APL, a augmenté, ainsi que le nombre de logements sociaux, et que, dans le même temps, le revenu moyen par habitant a probablement baissé. Je comprends qu’il faille absolument préserver les territoires les plus pauvres, comme Mantes-la-Jolie. Mais ce qui est fait pour les deux tiers des communes suivant dans le classement est absolument injuste. On ne tient plus compte de la situation réelle de ces territoires.