Monsieur Doligé, quand on est pour ainsi dire mis en cause, on doit nécessairement s’expliquer…
Oui, je suis consciente des difficultés auxquelles sont confrontés les départements ! À ce titre, j’avais demandé, dans cet hémicycle, à ce même banc, que les conseils départementaux ne prennent pas la responsabilité des routes, en soulignant que les départements ayant à la fois peu de population et beaucoup de kilomètres de réseau routier ne s’en sortiraient pas. Les routes représentent une charge extrêmement lourde !