Vous reconnaissiez vous-même, monsieur le rapporteur général, que les chiffres étaient globalement bons.
Je comprendrais que l’on puisse s’opposer sur la nécessité ou non du virage ambulatoire, sur la médecine de premier recours, sur la politique de promotion des génériques, sur les modalités de tarification ou sur la politique hospitalière, bref, sur la stratégie nationale de santé qui détermine et encadre les choix de long terme. Mais, s’il fallait absolument être en désaccord, la cible apparaît fort mal choisie.
Faut-il réduire les déficits ? Oui, nous en sommes presque tous d’accord !