Monsieur le secrétaire d’État, votre réponse est très large. Pour ma part, j’insiste sur le fait qu’il convient de reconnaître l’importance de l’art-thérapie. Or on s’aperçoit, et pas seulement à Ville-Evrard, que, au fur et à mesure des départs à la retraite ou des mutations des personnes qui les animent, les ateliers disparaissent. Je suivrai donc ce dossier très attentivement !