Madame la secrétaire d’État, je vous remercie de ces précisions. Toutefois, je ne suis pas totalement rassuré par votre réponse. Ce dossier, qui devrait être réglé aujourd’hui, a pris beaucoup de retard. De plus, je reste persuadé que la population de ce territoire est encore très vulnérable. C’est pourquoi j’aurais souhaité obtenir une réponse beaucoup plus claire. La commune peu riche d’Aubord ne peut se permettre d’apporter une contribution financière.
J’attendrai que M. le préfet du Gard m’informe de ses intentions, mais il importe que ce dossier soit traité rapidement et que le bassin d’écrêtement soit réalisé, compte tenu de la fréquence des épisodes cévenols.