Je constate qu’Ubu est toujours roi…
Le fond du débat, ce n’est pas la protection de la forêt contre les incendies. Vous le savez, la plupart des personnes qui possèdent des oliviers font partie des comités communaux feux de forêt, les CCFF, et sont très sensibles à ce problème.
La question de fond est la suivante : contribue-t-on, en brûlant des rémanents d’oliveraies, à détériorer le climat ? C’est ridicule ! Si cette activité participe à la dégradation du climat, alors il faut aussi interdire la circulation automobile…
Dois-je comprendre que si les oléiculteurs amateurs adressaient au préfet du Var une demande formulée dans les mêmes termes que celle qui avait été présentée au préfet des Bouches-du-Rhône, c’est-à-dire en arguant de l’existence d’une activité oléicole d’une certaine importance et d’apports à un moulin, ainsi que de l’adhésion à l’organisation professionnelle oléicole, une dérogation serait possible ? Mon interprétation est-elle la bonne ?