Être solidaire du peuple grec, c’est refuser qu’il soit humilié et contraint de payer au prix fort une crise dont sont responsables les milieux financiers et leurs représentants politiques en Grèce. C’est refuser que ce peuple soit plongé encore davantage dans une dangereuse récession.
En 2008, vous étiez prêts à mettre 340 milliards d’euros d’argent public à la disposition des banques, sans conditions.