Pour les mêmes raisons que celles que j’ai invoquées lors de l’examen de l’amendement précédent, mon avis sera défavorable.
Si l’on s’intéresse à l’origine des sommes, on voit que, dans le premier cas, c’était le secteur touristique qui était affecté. Or, au lendemain des attentats, nous avons plus que jamais besoin de faire la promotion de la France et d’inciter les touristes à venir y séjourner – d’autres que moi l’ont rappelé.
Ici, la somme serait prélevée sur le budget des bourses universitaires et des échanges d’expertises. De toute évidence, c’est totalement contraire à la diplomatie d’influence et de rayonnement que nous mettons en place.