Monsieur le rapporteur général, cher Philippe Marini, je vous répondrai en trois temps.
Je commencerai par l’Europe, ses institutions et les modifications qui sont d’ores et déjà envisagées par un certain nombre de chefs d’État et de gouvernement. Le Président de la République, Nicolas Sarkozy, s’en est expliqué. Je vous renvoie à la lecture d’un quotidien du soir qui relate et commente plusieurs éléments de la lettre qu’il a cosignée avec Mme Angela Merkel et adressée à la fois au président de la Commission européenne et au président du Conseil, M. Van Rompuy.