Pour une fois, je ne partage pas le sentiment de mon collègue Robert del Picchia.
L’amendement adopté par l’Assemblée nationale tend à permettre aux non-résidents d’être imposés sur leur situation réelle au moment où ils doivent payer, alors que, dans la situation actuelle, ils doivent attendre les déclarations d’impôt des autres pays, avec une régularisation qui n’intervient que trois ou quatre ans après.
J’estime que c’est une mesure de simplification.
Pour une fois, je ne voterai donc pas l’amendement de mon collègue Robert del Picchia.