Permettez-moi d’apporter quelques éléments de réponse sur la question de la régulation des marchés.
À cet égard, je tiens tout d’abord à dire qu’on obtient des résultats ! Concernant la viticulture, par exemple, le droit de plantation avait été supprimé en 2008, ce qui permettait à chacun de planter des vignes. C’était d’ailleurs l’objectif – très libéral – de la Commission européenne : on peut planter dès qu’il y a un marché potentiel !
Mais si l’on commence à planter des vignes tous azimuts, sans régulation, sans droit de plantation, je n’ai pas besoin de vous expliquer ce qui peut arriver, y compris aux plus belles indications géographiques ou appellations d’origine protégée de France ! C’est pour cette raison que nous avons remis en place le droit de plantation. J’ai d’ailleurs trouvé une large majorité de pays pour le faire.