Ce serait le cas s’il n’y avait pas une augmentation du nombre de reports : en 2014, 21, 3 milliards d’euros en autorisations d’engagement et 6, 8 milliards d’euros en crédits de paiement, soir respectivement 4, 3 % et 1, 4 % des crédits prévus en loi de finances initiale et en loi de finances rectificative.
Il me paraît important que le Parlement, et singulièrement les commissions des finances, dispose du montant total des reports, même si nous pouvons toujours effectuer des travaux de contrôle.