Il ne faudrait pas, monsieur le ministre, en arriver à l’obligation du retour à la procédure normale. En effet, les délais impartis étaient de plusieurs mois et l’administration qui en donnait les autorisations ne fonctionne hélas plus depuis le séisme.
Il y a urgence. On commence de nouveau à parler de risques d’émeutes, de la saison des pluies et de son lot d’épidémies. Autant de menaces qui pèsent sur ces enfants, dont les parents adoptifs n’aspirent qu’à les mettre enfin en sécurité.
Pouvez-vous, monsieur le ministre, me dire où en est la situation à ce jour et quels espoirs d’une résolution rapide vous pouvez donner aux familles concernées ?