C’est une démarche très compliquée et difficile à mettre en œuvre. Elle a progressé de façon paisible sur l’ensemble des territoires. Quand un espace sera classé « cours d’eau », le drainage sera par définition autorisé.
Dans la mesure où un tel travail est en cours, en bonne articulation avec les associations de protection de l’environnement et la profession agricole, il me semble préférable de laisser se déployer cette solution concrète sur les territoires. Nous ferons ensuite l’évaluation.
Je crois savoir que les choses se passent bien. Cela demande beaucoup de travail sur le terrain, mais les préfets ont accéléré ce chantier, ce qui est de nature à apaiser tous les contentieux qui avaient cours jusqu’à présent.