On ne peut être défavorable à votre idée, mon cher collègue, de recourir à l’énergie animale ! Elle est sympathique, renvoie à des valeurs et reflète en même temps une certaine modernité. On le sait bien, le recours à cette énergie de substitution est loin d’être absurde.
Toutefois, à minuit moins le quart, alors que les termes de l’amendement n° 476 sont imprécis, on n’a pas vraiment envie de discuter de sécurité juridique ! Ce sujet doit-il mobilier autant de gens de votre qualité à cette heure tardive, mes chers collègues ?
Si je ne suis pas défavorable à cet amendement dans son principe, le contexte dans lequel il s’inscrit, notamment d’insécurité juridique, ne me paraît pas pertinent.