Madame la secrétaire d'État, je vous remercie de votre réponse à laquelle je m’attendais d’ailleurs un peu puisque ma question a été déposée quelques jours avant la présentation du plan d’action par Mme la ministre, le 2 novembre dernier.
Ces mesures vont dans le bon sens, mais elles ne permettent pas de résoudre rapidement les problèmes. Nous ne pouvons pas laisser perdurer une situation donnant la possibilité à de jeunes praticiens ne travaillant que quelques jours de percevoir un revenu largement équivalent à celui de leurs collègues exerçant à temps plein.
Il faut donc mettre fin à cette situation dans l’intérêt à la fois de l’hôpital public, des patients, mais aussi, à moyen et à long terme, des praticiens.