Monsieur le secrétaire d’État, votre réponse est quelque peu ambiguë. Que comprend-on dans les grandes lignes ? Si l’on dépose un dossier de création d’un centre interculturel, avant de déclarer, six mois plus tard, que cet équipement est en fait une mosquée, cela ne pose pas de problème : l’ANRU part du principe que cela ne la regarde pas.