Mes chers collègues, abordons ce texte avec confiance et détermination, car la commission des lois a su trouver un équilibre.
Certes, monsieur le secrétaire d’État, nous aurons encore des débats sur tel ou tel sujet. Par exemple, je peux comprendre que la SNCF et la RATP doutent de l’utilité de payer un million d’euros pour être sous le contrôle de la CNAPS. Pour ma part, autant je pense que nous devons pouvoir faire confiance à ces entreprises de transport, autant je ne suis pas sûr qu’il en aille de même avec d’autres autres autorités.
Voilà, mes chers collègues, dans quel esprit je souhaite que nous abordions ce débat.