Ce sujet est stratégique pour nos territoires, car l'économie n'attend pas : déjà, des entreprises de toute taille quittent nos zones rurales pour ne pas sortir du jeu de la nouvelle économie. La fracture numérique se renforce. Nous qui avons été dans la région Est parmi les premiers à investir pour faire venir le TGV, nous ne nous étonnons pas de la nécessité de consacrer des moyens considérables à sa réduction. Encore une fois, ce sont les plus pauvres qui sont obligés de mettre la main à la poche.
Avec 450 kilomètres de frontières, ma région souffre du même problème de roaming imposé que l'île de Saint-Barthélemy.