Les paysans travaillent sur le vivant, sont soumis aux caprices de la terre, aux aléas climatiques, ne sont à l’abri ni des maladies animales ni des maladies végétales. Ils ne sont guère plus protégés contre les bouleversements économiques et les variations des prix.
Cette loi constituera, je pense, un bon remède. Peut-être n’apportera-t-elle pas à elle seule la guérison complète, mais le travail accompli ici va assurément dans le bon sens et je voterai le texte qui ressort de nos débats. Je souhaite en tout cas qu’il soit, pour notre agriculture, un facteur de réussite !